Les voitures les plus détestées de l’histoire de l’automobile

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C’est vrai que chacun a ses goûts quand il s’agit de voiture, mais certaines sont même éliminées du marché, car les clients ne sont pas satisfaits de leurs options, leurs formes ou encore leurs puissances. En poursuivant votre lecture, vous trouverez quelques véhicules qui sont connus comme les plus détestés de l’histoire de l’automobile.

Des modèles loin d’être fameux : Pontiac Aztek et Renault Vel Satis

Parmi celles auxquelles on accorde le titre de voiture moche, il y a la Pontiac Aztek. Durant la première année de vente, moins de 12 000 exemplaires ont été vendus. Rien qu’en regardant son look et son design, il est tout à fait normal de ne pas être emballé! Si ce n’était que ça! Ne manquons pas d’aborder ses finitions intérieures ! Pas très fameuse la Pontiac Aztek. Afin d’en savoir un peu plus sur les voitures, rendez-vous sur le site Biellette. Un véhicule qui a marqué l’histoire par son design, loin d’être attirant, c’est la Renault Vel Satis. La marque française n’a pas fait long feu sur le marché de l’automobile avec ce modèle. À défaut d’avoir voulu présenter une voiture décalée, au niveau de la silhouette, il y a beaucoup à dire. En effet, son manque total d’harmonie a suscité de nombreuses critiques, loin d’être agréable.

L’Audi A2 et le Peugeot 1007 : des voitures de tailles réduites

Au début des années 2000, la marque d’Ingolstadt s’est lancée à produire des voitures de petite taille, comme l’Audi A2 à 3.83m. Cet engin est caractérisé par sa structure en aluminium, mais par rapport aux autres véhicules des concurrents, il est beaucoup plus cher. Ceci causera sa perte et la fabrication s’est arrêtée en 2005. Puis, nous allons vous parler du Peugeot 1007, cette voiture se démarque surtout par ses deux portes latérales coulissantes et électriques. En 2004, la marque s’est investi dans le secteur des véhicules de petites tailles, mais on peut dire que cette décision n’était pas fructueuse. Les clients de la marque de Lion n’apprécient pas le produit, donc au lieu d’en vendre 150 000 par an, le constructeur n’en liquidait que 150 000 pendant 4 ans, entre 2005 et 2009. Ce qui aussi causera l’arrêt de la production du Peugeot 1007.

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